La tête fracassée, bouche ouverte sur le trottoir
entends, la pluie ruisselle mes larmes quand vient le soir
J' ai crié à l' aide mais tu sais, si peu d' espoir
les passants passent et moi je trépasse au fond du noir
Vois, tu voulais me mettre des ailes, rien n' est clair
dans le cheminement de mes petits cailloux par terre
Cruel dilemme que devoir t' oublier pour être
notre bonheur s' est tû puis mon esprit se perd
Je reste assis quand passe le soleil au mois de mai
éternel printemps, éternel renouveau mais
je ne retrouverai plus nos étés je le sais
quand les arbres espèrent leurs feuilles les miennes restent fanées
En silence j' entends les bruits de mon pauvre coeur
à l' agonie les artères trahies je lui pleure
qu' il y a peu de chances de revoir un entrepreneur
et que demain ne fera que nourrir sa peur
entends, la pluie ruisselle mes larmes quand vient le soir
J' ai crié à l' aide mais tu sais, si peu d' espoir
les passants passent et moi je trépasse au fond du noir
Vois, tu voulais me mettre des ailes, rien n' est clair
dans le cheminement de mes petits cailloux par terre
Cruel dilemme que devoir t' oublier pour être
notre bonheur s' est tû puis mon esprit se perd
Je reste assis quand passe le soleil au mois de mai
éternel printemps, éternel renouveau mais
je ne retrouverai plus nos étés je le sais
quand les arbres espèrent leurs feuilles les miennes restent fanées
En silence j' entends les bruits de mon pauvre coeur
à l' agonie les artères trahies je lui pleure
qu' il y a peu de chances de revoir un entrepreneur
et que demain ne fera que nourrir sa peur